samedi 2 octobre 2010

L’AGNEAU QUI ÔTE LE PÉCHÉ !

Lorsque Jésus arrive dans la région de Béthanie (Jean 1 : 28), il y a une foule de personnes venues écouter les sermons de Jean-Baptiste. Ces gens sont tellement convaincus par le ministère de ce grand prophète qu’ils ne font aucun cas de la présence de Jésus au milieu d’eux. Ils ne le connaissent pas. Ils ne discernent pas sa puissance. Il est permis de croire que s’il se présentait lui-même à eux comme le Messie, le Sauveur du monde, ils l’auraient radicalement rejeté. Fort heureusement, Jean-Baptiste reçut dans son cœur la conviction que Jésus était l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Il le fit connaitre à cette foule en quête de vérité, et quelques-uns, se laissant persuader, suivirent Jésus.
            Aujourd’hui, tant de religions, tant de traditions, tant d’opinions occupent le cœur des hommes, les rendant imperméables à l’amour de Jésus. Cher ami qui lisez ces lignes, ne continuez pas à combattre contre Jésus ; mais plutôt, voyez-le venir à vous, et reconnaissez-le comme l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est là d’ailleurs toute la signification de la Pâque que les chrétiens ont célébrée il y a quelques jours. Croire en Jésus, c’est entrer dans l’alliance que Dieu fait avec les hommes par le moyen du sacrifice de l’Agneau :
· Le sang de l’Agneau nous purifie de tout péché, nous rend justes devant Dieu et nous fait devenir ses enfants.
· Les blessures de l’Agneau nous guérissent de toutes maladies et infirmités.
· La lumière de l’Agneau éclaire notre cœur et nous conduit dans toute la vérité. Ainsi, nous ne marchons plus dans les ténèbres, nous n’avons plus peur.
· La puissance et l’amour de l’Agneau gardent nos vies et pourvoient quotidiennement à tous nos besoins.
· Puis, lorsque, par la mort, nous aurons quitté ce monde, nous participerons au grand festin des noces de l’Agneau.
            Comme Jean-Baptiste, accueillez-le aujourd’hui, et il vous donnera un bonheur éternel.