lundi 25 décembre 2023

CE N'EST PAS DE LA FICTION

 

Il y a une histoire vraie et étonnante qui s’est déroulée durant la seconde guerre mondiale. Peut-être l'avez-vous entendu :

Le lieutenant de l'Armée s'est levé de son banc, a arrangé son uniforme, et étudié la foule de gens qui traversaient la Grande Gare Centrale. Il cherchait une fille qu’il aimait mais dont il n'avait jamais vu son visage. Bien des mois auparavant il avait trouvé son adresse dans un livre emprunté à la bibliothèque, lui a écrit pour rompre sa solitude, et elle, à son grand étonnement, a répondu. Le lieutenant est parti pour servir son pays durant la Seconde Guerre Mondiale et pendant treize mois ils ont correspondu pendant qu'il était outre-mer. Comme ils ont persévéré à s’écrire, ils ont commencé à tomber amoureux l’un de l'autre. Il a écrit et lui a demandé une photographie, et elle a répondu, “Non. Si vous m'aimez, vous ne vous soucierez pas de savoir à quoi je ressemble.” Donc ils ont continué à correspondre, et leur amour a grandi.

Quand le lieutenant devait revenir dans son pays, il a demandé qu'elle le rencontre dans la Grande Gare Centrale de New York. Elle a consenti, et a dit qu'il la reconnaîtrait par la rose qu’elle porterait. Donc le lieutenant a cherché et a vu la plus belle femme qu'il ait jamais vu, portant un tailleur vert. Comme il s’avançait vers elle, il s’arrêta, car derrière elle il a vu une femme qui portait une rose rouge, bien rouge.

La femme avec la rose avait bien passé la cinquantaine, maquillée, avec des chevilles épaisses dans des chaussures à talons plats. Ses cheveux gris étaient glissés sous un chapeau usé. La femme dans le tailleur vert partie et le jeune homme a failli presque la suivre. Il fut confronté à un choix, la jeune femme, ou la vieille célibataire. Comme il y pensait, les lettres qu'ils s’étaient écrites l’un à l’autre lui sont revenues en mémoire. Il redressa ses épaules, s'approcha de la plus vieille femme, et dit, “Je suis le lieutenant Jean Blanchard. Vous devez être Mlle Maynell. Je suis si heureux de vous rencontrer, pourrais-je vous inviter à dîner ?”

Le visage de la femme s'est éclairé, et elle a dit : “Je ne sais pas de quoi il est question, mon fils, mais la jeune dame avec le tailleur vert qui vient juste de passer m’a demandé que je porte cette rose. Si vous veniez vers moi J'étais supposé vous dire, qu'elle vous attend dans le restaurant de l’autre côté de la rue. Elle a dit que c'était une sorte de mise à l'épreuve !”

Qu’en est-il de nous ? Siméon bien qu’âgé et bien qu'ayant des problèmes de vue a reconnu Jésus au milieu de toute une. Il a tenu Jésus dans ses bras.

Nous n'avons pas cet avantage mais nous devons avoir le même désir de reconnaître Jésus.

- 2 Corinthiens 13:5 "Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi ; éprouvez-vous vous-mêmes. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous ? à moins peut-être que vous ne soyez réprouvés."

- 1 Pierre 1:8 « lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse »

C'était un Dimanche.

Un Dimanche soir D. L. Moody (un grand homme de Dieu) venait de prêcher sous une grande tente de cirque à Chicago. Son texte, « Le Fils d'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » Après qu'il a fini, un petit garçon a été apporté à la plate-forme par un officier qui avait trouvé l'enfant qui déambulait, perdu dans la foule. M. Moody l'a pris dans ses bras et a demandé que la foule regarde l'enfant perdu. Il dit : « Le père est plus inquiet de trouver le garçon que le garçon d'être trouvé. C'est pareil qu'avec notre Père Céleste, Il vous a suivi, oh, pécheur, pendant de longues années. Il vous suit encore !»

À ce moment un homme avec un visage blême s’est frayé un chemin en jouant des coudes jusqu'à la plate-forme. Le garçon l'a vu et, couru se jeter dans les bras étendus de son père. La multitude qui était témoin de la scène, fut touchée dans son coeur. « Ainsi, » cria M. Moody, « voyez comment Dieu vous reçoit si vous courrez à Lui aujourd'hui. »

- Jean 3:16-17 « Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours. En effet, Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais il l’a envoyé pour qu’il sauve le monde."

- Apocalypse 3:20 "Voici dit Jésus, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi."