mardi 21 janvier 2014

Un Ami de Voltaire: Mort de Voltaire / Les Dernieres Volontés d'Alexandre le Grand

 UN AMI DE VOLTAIRE 
Laharpe, disciple de Voltaire, fut à cinquante-cinq ans, emprisonné comme suspect pendant la révolution française. Il ne trouvait aucune consolation dans la philosophie en laquelle il avait mis sa confiance, et il  tomba dans une grande tristesse.
 
Pour le consoler, quelqu'un lui offrit le seul livre qu'il avait à sa disposition: la Bible. 
 
Laharpe l'ouvrit pour se distraire un moment. Dès les premiers mots, étonné, il fut rempli d'admiration pour la grandeur et la beauté du langage : «Comment s'écria-t-il, je ne connaissais pas ce Livre, et c'est un chef-d’œuvre!
 
 
 
Il contient tout ce que peut souhaiter la curiosité humaine, il l'excite et le satisfait à la fois. Jamais l'esprit de l'homme n'a pu concevoir ni s'exprimer ainsi. Ce Livre ne peut être que divin».
 
Par la lecture de la Bible celui que Voltaire avait appelé «son fils» vint à Dieu et à sa grâce en Jésus Christ. Un autre Laharpe sortit de prison … il était devenu un enfant de Dieu. 
 
Cher jeune lecteur, ne croit pas que les philosophies et les pensées des hommes peuvent remplacer la Bible et offrir le bonheur. Seule la Parole de Dieu peut réjouir ton cœur. Lis-la, et elle éclairera aussi ton esprit.
 
LES DERNIERES VOLONTES D'ALEXANDRE LE GRAND
 
Le temps est le trésor le plus précieux
 
Que nous puissions avoir !
 
Les dernières volontés d'Alexandre Le Grand
 
Sur le point de mourir, Alexandre convoqua ses généraux et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences :
 
1 - Que son cercueil soit transporté à bras d'homme  par les meilleurs médecins de l'époque.
 
2 - Que les trésors qu'il avait acquis (argent, or, pierres précieuses... ),  soient dispersés tout le long du chemin jusqu'à sa tombe, et...
 
3 - Que ses mains restent à l'air libre se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous.
 
L'un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites,  demanda à Alexandre quelles en étaient les raisons?
Alexandre lui expliqua alors ce qui suit : 
1 - Je veux que les médecins les plus éminents transportent
 
eux-mêmes mon cercueil pour démontrer ainsi que face à la mort,
 
ils n'ont pas le pouvoir de guérir...
 
2 - Je veux que le sol soit recouvert de mes trésors pour que tous
 
puissent voir que les biens matériels ici acquis, restent ici-bas...
 
3 - Je veux que mes mains se balancent au vent, pour que les gens puissent voir que, les mains vides, nous arrivons dans ce monde et, les mains vides, nous en repartons quand s'épuise pour nous le
 
trésor le plus précieux de tous :   LE TEMPS...
En mourant, nous n'emportons aucun bien matériel avec nous;
 
bien que les bonnes actions, je pense,  soient une espèce de
 
chèques de voyage.
"LE TEMPS" est le trésor le plus précieux que nous ayons parce
 
qu'il est LIMITÉ.
 
Nous pouvons produire plus d'argent, mais pas plus de temps.
 
Quand nous consacrons du temps à quelqu'un,  nous lui accordons une portion de notre vie que nous ne
 
pourrons jamais récupérer, notre temps est notre vie.
 
LE MEILLEUR CADEAU
 
que tu puisses donner à quelqu'un est ton TEMPS et accorde-le TOUJOURS à la FAMILLE, au CONJOINT ou à des BONS AMIS.
 
LA MORT DE VOLTAIRE
 
Tout le monde a entendu parler de Voltaire, le célèbre écrivain et philosophe du 18ème siècle, figure emblématique du siècle dit "des lumières", mais qui connaît les circonstances de sa mort ?
 Voltaire se trouvait à Paris, enivré du succès d’une pièce nouvelle qu’il faisait représenter, objet d’une ovation de la foule qui l’acclamait avec un tel enthousiasme qu’il s’écriait : « Vous voulez donc me faire mourir de plaisir ? »
 Soudain une violente hémorragie se produisit et mit ses jours en danger. Ses amis, Diderot, d’Alembert, Marmontel, accoururent pour le soutenir dans ses derniers moments, mais ce ne fut, raconta l’un de ses biographes, que pour être témoins de la mort la plus terrible qui frappa jamais l’impie.
 
 
La rage, les remords, les blasphèmes, les reproches de la conscience, tout cela accompagna la longue agonie du mécréant mourant. 
 
  On l’entendit supplier et blasphémer le Dieu qu’il avait haï pendant sa vie. Il s’écriait parfois : 
 
« Ô Christ ! ô Jésus-Christ ! » Un jour on le vit tenir à la main un livre de prières, en essayant d’invoquer Dieu. Il était tombé de son lit dans les convulsions de l’agonie et restait étendu sur le parquet, impuissant, désespéré, s’écriant : 
 
« Ce Dieu que j’ai renié ne viendra-t-il pas me sauver aussi ? »
 
Son médecin, monsieur Tronchin, le trouva un jour plongé dans le plus profond effroi, s’écriant avec horreur : 
 
« Je suis abandonné de Dieu ! Docteur, je vous donne la moitié de ce que je possède si vous pouvez me prolonger la vie de six mois ! »
 
Le médecin lui répondit :
 
« Monsieur, vous n’avez pas six semaines à vivre !
 
– Dans ce cas, répondit Voltaire, j’irai en enfer, et vous avec moi ! »
 
 Monsieur Tronchin a raconté sa mort dans une lettre adressée à un ami. Elle est une leçon singulièrement solennelle pour tous ceux qui ont pensé, comme Voltaire, que la vie et la mort peuvent se passer de la foi. Voici ce qu’il dit : 
 
  « Il finit par tomber dans un état de désespoir et de démence le plus affreux. Je ne me le rappelle pas sans horreur. Dès qu’il vit que tout ce qu’il avait pour augmenter ses forces avait produit un effet contraire, la mort fut toujours devant ses yeux ; dès ce moment, la rage s’est emparée de son âme.
 
Si mes principes, mon ami, avaient besoin que j’en serrasse les nœuds, l’homme que j’ai vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux, en aurait fait un nœud gordien ; et, en comparant la mort de l’homme de bien à celle de Voltaire, j’aurais bien vu la différence qu’il y a entre un beau jour et une tempête, entre la sérénité de l’âme du sage qui cesse de vivre, et le tourment affreux de celui pour qui la mort est “le roi des épouvantements”. Grâce au ciel, je n’avais pas besoin de ce spectacle ! »
 
 Il mourut, et son agonie fut telle que son infirmière déclara que pour tous les trésors de l’univers, elle ne consentirait pas à voir mourir un autre athée. 
 
  Les tourments indescriptibles ont été la fin de cet homme qui a été l’ennemi de Dieu durant sa vie.
 
Quand je dis “la fin”, je parle bien sûr de la fin de sa vie sur la terre, mais qu’en est-il maintenant de son âme ? 
 
  Par la parabole du riche et de Lazare (Luc 16 v.19 et suivants) Jésus lève le voile sur l’au-delà et nous donne une idée des tourments dans lesquels se trouvent les âmes de ceux qui ont vécu sans Dieu.
 
La Bible dit : « il est réservé aux hommes de mourir une fois et après cela vient le jugement » et « C'est une chose terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant ! » Et encore :« il sera jugé digne d'une punition combien plus sévère, celui qui a foulé aux pieds le Fils de Dieu » (Hébreux 9 v.27, 10 v.31 et 29)
 
 Mais, pensera-t-on peut-être, Voltaire n’aurait-il pas pu être sauvé au dernier moment de sa vie ? Il semblerait que, pendant son agonie, il le souhaitait puisqu’il essayait d’invoquer Dieu et faisait appel à Christ.
 
 
 
 Bien des personnes ont cru sur leur lit de mort. Le brigand sur la croix a été sauvé au tout dernier instant de sa vie. Mais il manquait à Voltaire la foi qu’il a toujours rejetée durant sa vie.  « Dieu parle une fois, deux fois, et l’on n’y prend pas garde »  (Job 33 v.14)
 
Lors des dix plaies en Egypte, Dieu a parlé dix fois au Pharaon par l’intermédiaire de Moïse, et le Pharaon endurcissait son cœur. Dès la sixième fois, ce fut Dieu qui endurcit le cœur du Pharaon(Exode 9 v.12, 10 v.1, 20, 27, 11 v.10) et quand c’est Dieu qui endurcit un cœur, personne ne peut le briser.  C’est pourquoi nous continuons à supplier avec force :
 
« Aujourd'hui, si vous entendez sa voix,
 
n'endurcissez pas votre cœur ! »
 
(Hébreux 3 v.8, 15)
 
« Je suis vivant, dit le Seigneur, l'Éternel, je ne prends pas plaisir en la mort du méchant, mais plutôt à ce que le méchant se détourne de sa voie et qu'il vive ! »(Ézéchiel 33 v.11) « Notre Dieu sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la Vérité ». (1 Timothée 2 v.4)
 
 
 
Jésus dit : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14 v.10
 
 
JESUS MEPRISE DES HOMMES GLORIFIE PAR DIEU
 
Jésus a vécu ici-bas dans l’humilité la plus profonde. Il est né dans une étable parce qu’il n’y avait pas de place pour lui dans l’hôtellerie, alors que, étant le Fils de Dieu, le Créateur, le Prince de la vie, il aurait pu naître dans un palais d’or et recevoir tous les honneurs qui lui étaient dus.
 
 Il a choisi la pauvreté parce qu’il n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre (Marc 10 v.45).
 
Lui qui était riche – étant le Créateur, il possède tout – il a vécu dans la pauvreté pour nous (2 Corinthiens 8 v.9).
 
 Il commença son ministère terrestre en s’abaissant au rang des pécheurs, se faisant baptiser par Jean du baptême de la repentance alors que, parfait, il était sans péché. Il a passé de lieu en lieu, n’ayant pas même un endroit où reposer sa tête (Matthieu 8 v.20).
 
Partout il a été le méprisé et le délaissé des hommes, le peuple n’ayant pour lui aucune estime, et son chemin sur la terre s’est terminé par la crucifixion, entre deux brigands : il a été mis au nombre des malfaiteurs (Marc 15 v.28 - Esaïe 53 v.12)
 
Mais si, durant toute sa vie sur la terre, Jésus a été le méprisé des hommes, Dieu n’a pas permis que son saint Fils soit sans honneur.  Au milieu d’un peuple indifférent et méprisant, il a choisi quelques âmes pieuses pour l’honorer :
 
A sa naissance, un ange et une multitude de l’armée céleste apparurent à des bergers, louant Dieu et disant : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir dans les hommes ! »(Luc 2 v.13)
 
Des mages vinrent de l’orient avec des trésors qu’ils offrirent à l’enfant Jésus et, se prosternant devant lui, ils lui rendirent hommage (Matthieu 2 v.11)
 
Aussitôt remonté de l’eau après avoir été baptisé, les cieux furent ouverts et la voix de Dieu se fit entendre publiquement : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai trouvé mon plaisir » (Matthieu 3 v.16-17)
 
Lorsqu’il fit son entrée dans Jérusalem, assis sur un ânon, plusieurs étendaient leurs vêtements et des rameaux sur le chemin et criaient : « Hosanna, béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! … Hosanna dans les lieux très hauts ! » (Marc 11 v.9-10)
 
 
 
A sa mort, des hommes riches et pieux ensevelirent son corps et le placèrent dans un sépulcre neuf taillé dans le roc. Le prophète Esaïe avait dit de lui : « Il a été avec le riche dans sa mort » (Esaïe 53 v.9)
 
Maintenant, Jésus est ressuscité, glorifié selon sa prière adressée au Père avant d’affronter la mort :« Moi, je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire.
 
Et maintenant, glorifie-moi, toi, Père, auprès de toi-même, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit » (Jean 17 v.4-5).
 
 Jésus est élevé au plus haut des cieux, couronné de gloire et d’honneur (Hébreux 2 v.9), assis à la droite de la Majesté dans les hauts lieux (Hébreux 1 v.3). Bientôt, il reviendra pour prendre avec lui tous ceux qui auront cru.
 
Ami, qui est Jésus pour vous ?
 
Est-il l’homme méprisé qui, ayant voulu faire du bien, a subi un échec en mourant sur une croix ?
 
Ou est-il le Fils de Dieu, le Prince de la vie venu ici-bas pour souffrir et mourir pour vos péchés, triomphant de la mort par sa résurrection ?
 
 
 
Un jour, vous paraîtrez devant lui.
 
 
 
Le verrez-vous comme celui que vous avez méprisé et qui sera alors votre Juge ?
 
Ou le verrez-vous comme votre Sauveur et Seigneur que vous aurez honorer de votre foi ?
 
Jésus, étant en forme de Dieu, n’a pas regardé son égalité avec Dieu comme ce qui est à préserver, mais il s’est dépouillé lui-même, prenant la condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains ; reconnu comme un simple homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et même à la mort de la croix.
 
C’est pourquoi aussi Dieu l’a élevé très haut et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus se plie tout genou des êtres célestes, et terrestres, et infernaux, et que toute langue reconnaisse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.
 
(Philippiens 2 v.8 à 11)