lundi 30 décembre 2019

Ceux qui s'approchent de Dieu

Prédication audio 



Kevin DIETRICH:


lundi 23 décembre 2019

Les Différents Symboles de la Parole

Prédication audio 



Kevin DIETRICH:


LE CHRIST INCOMPARABLE


En cette période de Noël, permettez-moi de partager avec vous un texte choisi qui nous dépeint admirablement le visage et la personne du Christ, notre Sauveur : C’est Lui que nous voulons annoncer !


IL est né d'une simple femme.
Sa naissance est un fait qui confond la raison.
Aucun savant sous le ciel n'en a jamais pénétré le secret
IL a revêtu la nature humaine, afin de pouvoir racheter l'espèce humaine
IL est devenu Fils de l'homme, afin que nous devenions fils de Dieu !
IL a vécu dans la pauvreté, grandi dans l'obscurité, sans le privilège d'une haute instruction, sa famille étant sans fortune et sans influence !
Pourtant petit enfant, il a été sujet de terreur pour un roi,
Jeune garçon, il a étonné et embarrassé les docteurs de la loi,
IL n'a jamais écrit de livres, cependant aucune bibliothèque ne pourra jamais contenir les ouvrages, dont Il est le sujet !
IL n'a jamais composé de musique, pourtant le nombre de mélodies, dont il est le thème est tel, que tous les compositeurs réunis n’en viendraient à bout!
IL n'a pas fondé d'école, pourtant toutes les universités du monde ne pourront jamais se vanter d'avoir rassemblé autant de disciples !
IL n'a jamais exercé la médecine, mais qui donc pourrait dire le nombre de cœurs et de corps, brisés par la souffrance, guéris par LUI !
IL a changé son vêtement royal pour la tenue de l'humble artisan!
Par amour pour nous, il s'est fait pauvre et combien pauvre !
Demandez-le à Marie, aux bergers, aux mages !
Il a dormi dans la crèche d'un autre, Il a traversé le lac de Génésareth dans la barque d'un autre, Il a fait son entrée à Jérusalem sur l'âne d'un autre, Il a été enseveli dans la tombe d'un autre !
De grands hommes ont paru et sont tombés dans l'oubli !
LUI seul ne passe pas ! Hérode n'a pas pu le tuer, ni Satan le faire échouer
LUI seul ne passe pas ! La mort même n'a pu le retenir, ni le tombeau le détruire !


lundi 16 décembre 2019

Comment se Comporter au Sein de l’Épreuve

Prédication audio 

Kevin DIETRICH:


UN MERVEILLEUX PORTIQUE 3/3


Emile Dalliere (Radio Réveil)

Paix dans le Ciel !...

Ainsi, l’œuvre de Jésus est parfaite. Venant sur la terre, il apporte avec lui la paix entre les hommes. Quand, à travers la Croix et la résurrection, il retourne au ciel, c'est comme ambassadeur de la terre, pour conclure la paix avec Dieu. Entendez ces deux chants qui s'élèvent comme les deux piliers d'un gigantesque portique ! Entre eux, passe toute l’œuvre du Christ, Prince de la Paix. Entre eux, géante et lumineuse, dressée près d'un tombeau à jamais vide, la porte qu'ils encadrent a la forme de la Croix.
La paix est promise à quiconque franchit ce portique.
Qui, parmi vous, désire connaître, au plus profond de son être, la paix ? Qu'il vienne là, non à un Arc de Triomphe à la manière des hommes de guerre, mais pour rencontrer Christ, et laisser dans la croix, par une capitulation sans condition, tout ce qui constitue le mal dans son cœur, dans son corps, dans sa pensée ! Toute racine d'ambition égoïste, tout amour de soi-même, toute propre justice y seront détruits ! Venez !...
Il s’est incarné pour associer votre humanité à la sienne, afin qu'elles soient crucifiées ensemble. Il a associé sa divinité à votre humanité, afin qu'elles ressuscitent ensemble.
Viens, ami, viens ! Dis «Oui» à ce Christ, à ce Prince de la Paix ! La puissance de son amour remplira alors tout ton être. Quand tu auras franchi ce divin portique, il te revêtira d'une nouvelle autorité, celle du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit désire vivre avec toi, et devenir ton compagnon de route, à chaque heure, à chaque minute de ta vie. En sa merveilleuse compagnie, tu deviendras, à ton tour, oui, toi, personnellement, sur cette terre de misère, un des Chevaliers du Prince de la Paix !
Lorsque ce message aura été répandu jusqu'aux extrémités du monde, le Christ reviendra, en Roi glorieux, chercher les siens.
Laissez-moi vous donner de cet événement une annonce prophétique.
Je le ferai sous forme d’une image. Au dixième siècle avant Jésus-Christ, un grand prophète, qui était du reste un ancien berger, mais que Dieu avait fait devenir roi, David, conquit la forteresse de Sion, pour en faire non seulement la capitale du peuple de Dieu, mais le siège du Temple où Dieu lui-même habiterait. Sion, c'est Jérusalem, Cité de Dieu, Cité de la Paix ! Les murailles, considérées jusque-là comme imprenables, s'ouvraient par une lourde porte. Quand le roi se présenta devant les murailles, les soldats, dans la joie et dans l'enthousiasme, crièrent' (Psaume 24.7-10):
Portes !... levez vos linteaux !
Elevez-vous, Portes éternelles !
Que le Roi de gloire fasse son entrée !
Mais, à ce moment-là, David était, et David se savait, pleinement, représentant de Dieu sur la terre, prophète annonciateur du Christ, et dans une admirable vision spirituelle, il comprit que ce n'était pas lui qui entrait, mais Dieu lui-même, à travers lui. Dieu venait prendre possession de sa ville, la Cité de Paix !... Monté sur les murailles conquises, un autre chœur répondit au premier et chanta:
Qui est-il, ce Roi de Gloire ?...
Et le premier de répondre:
«C'est l'Eternel des Armées,
C'est lui, le Roi de Gloire !... »
Jusqu'au jour où Jésus-Christ reviendra en Roi glorieux, selon la promesse qu’il en a faite, les deux chants de paix continueront à se faire entendre et à monter vers le ciel comme deux émouvantes prières: celui des anges, chantant
Paix sur la terre !
Celui des hommes qui disent:
Paix dans le Ciel !
Et ces deux colonnes du portique feront un Arc de Triomphe au Christ suivi des Armées de l’Eternel, qui sont des Légions d'anges de paix, dont l'épée flamboyante n’a jamais transpercé que le péché.
Alors, Il apparaîtra. La mort sera vaincue. La résurrection aura lieu. L'entrée du Royaume éternel de Dieu sera ouverte. Ah ! Que tous les cœurs reprennent alors les mots du Psaume et qu’ils chantent:
Portes !... Elevez vos linteaux !...
Elevez-vous, Portes éternelles !
Que le Roi de Gloire fasse son entrée !...

lundi 9 décembre 2019

Joseph et les 'P'

Prédication audio 

Kevin DIETRICH:


UN MERVEILLEUX PORTIQUE 2/3



Emile Dalliere (Radio Réveil)

PAIX SUR LA TERRE! ...
Oui ! Voici celui qui apporte la paix sur la terre !...
L'enfant grandit, pareil aux autres enfants. Venu dans cette pauvreté, il a renoncé au service que lui doivent les anges. Il est d'une famille d'ouvriers, où l'on gagne sa vie par le labeur de ses mains. Quand il commence son ministère, c'est sans avoir passé par les Facultés ni par les Grandes Ecoles. Il prêche l'amour de Dieu, et ceux qui l'entourent ce sont ceux qu'on méprise, les femmes qu'on condamne, les malheureux et les souffrants. Pas à pas, il suit le chemin de la peine des hommes. Il va avec eux jusqu’en prison, mais ce n'est pas comme honorable visiteur délégué par une Œuvre charitable, non ! c'est pour être outrageusement frappé, injustement accusé, lui, le Dieu d'amour et de liberté ! Son chemin aboutit finalement à une croix où il renonce à tout ce qui fait la convoitise ou l'ambition des hommes, même dans leurs besoins les plus légitimes et les plus sacrés.
Mais, ô miracle ! Voici que juste avant d'arriver au terme de ce chemin, une scène merveilleuse a lieu. Au moment où il va entrer à Jérusalem, la multitude des pauvres (qu'il a secourus), des incompris (qu'il a réconfortés), des malades (qu'il a guéris), lui fait une escorte triomphale. Soudain, comme à l'heure de la nativité, un grand mouvement de l'Esprit soulève l'enthousiasme, un cri part de la foule et s'enfle, aussi large que celui des anges en la nuit de Noël. Mais, tandis que les anges lui faisant escorte jusqu'au seuil de la terre, chantaient:
Paix sur la terre !...
Les hommes, lui faisant escorte jusqu'au seuil de la Croix par où il allait retourner vers son Père, le renvoient vers le ciel en chantant:
Paix dans le Ciel !...
« Paix dans le Ciel ! » et « Gloire dans les lieux très hauts !... », cela veut dire: paix dans le cœur même de Dieu ! Ce qui va être crucifié en Jésus de Nazareth, ce ne sont pas seulement les revendications humaines, mais le péché qui les animait, qui les imprégnait, qui les faussait et les rendait génératrices de haine et de guerres entre les peuples, de haine et de querelles, de mésentente et de meurtres dans la vie familiale et sociale des individus. Tout cela est mis à mort sur la croix, où Jésus accomplit la justice de Dieu et exprime la victoire de Dieu sur le mal. C'est tout cela que, poussés par l'Esprit, les hommes saluent en chantant, non plus «paix sur la terre ! », mais
Paix dans le Ciel !...

lundi 2 décembre 2019

UN MERVEILLEUX PORTIQUE 1/3



Emile Dalliere (Radio Réveil)

La première fois que ce cri: «Paix sur la terre ! ...» a retenti, c'est au moment de la naissance de Jésus, à Bethlehem, il y a deux mille ans. Le monde d'alors, tout comme le nôtre, était harassé par ses travaux, meurtri par ses maladies, épuisé par les luttes de ses grands empires, ensanglanté par ses guerres.
Longtemps avant, dans la nuit des siècles, la voix des prophètes (Esaïe 9. 5) avait annoncé qu'un envoyé de l'Eternel viendrait, et qu'on l'appellerait «Prince de la Paix». Puis, au temps voulu, un ange de Dieu apparut aux bergers qui gardaient leurs troupeaux pendant les veilles de la nuit, et il leur annonça que la longue attente des siècles était finie. La promesse des promesses s'accomplissait. Il dit:
-    Je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d'une grande joie: c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur !...
Et soudain, il se joignit au céleste messager une multitude d'autres, comme un immense éclatement de lumière, aussi soudain que l'éclair de la bombe atomique d'Hiroshima (qui fut, vous le savez, lancée par des «chrétiens»), mais à la place d'une puissance de mort, cette lumière des anges était porteuse d'un germe nouveau de vie pour la terre. C'était le tressaillement même de l'Esprit de Dieu, et de cette multitude et de cette lumière jaillit le cri de délivrance dont la terre avait besoin. Couvrant la douleur d'enfantement de Marie et le premier cri de son enfant, les anges chantèrent:
-    Paix sur la terre parmi les hommes de bonne volonté !
-    Gloire à Dieu dans les lieux très hauts !...
Contraste admirable ! Car le premier cri de l'enfant qui respire est un cri de douleur, et cet enfant-là n’a pour berceau qu'une crèche dans une étable orientale, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie (Luc 2.7). Oh ! Il y a de la place pour les grands conquérants qui lèvent des armées et qui versent le sang des hommes comme de l'eau, oui, mais celui que les prophètes avaient annoncé dans l'inspiration de l'Esprit n'avait droit qu'à un endroit sale et peu glorieux. Et c'est Dieu qui l'avait voulu ainsi. Car les choses qui détruisent notre paix sont la soif de puissance, la recherche des honneurs et la convoitise de l'argent. C'est vrai des nations et c'est vrai des individus, même dans la vie du foyer, entre mari et femme, entre parents et enfants, dans la vie sociale, entre employeurs et employés, partout.
En venant, en Jésus-Christ visiter la terre, Dieu, Roi de toute gloire, créateur et propriétaire de toutes les richesses, chef de toute autorité, revêt volontairement l’aspect d'un petit enfant, il se met au rang le plus bas, se contente de la chaude odeur du fumier comme couverture, - tandis que d'un bout du ciel à l'autre le chant des anges annonce à la terre endormie:

PAIX SUR LA TERRE! ...

lundi 25 novembre 2019

Le Riche et Lazarre

Prédication audio 

Kevin DIETRICH:


lundi 18 novembre 2019

Les 3 Centeniers

Prédication audio 

Kevin DIETRICH:


S'ATTACHER A L'ESSENTIEL 2/2


par Carl Ledune (Radio reveil 1979/03)
Persévérer dans l’enseignement des apôtres... Quel solennel appel en un temps où l’on rejette l’Ecriture Sainte au bénéfice de nouvelles théologies, où l’on s’en va répétant que la Bible n’est plus à prendre au sérieux, qu’elle est un mythe... Rappelons-nous d’ailleurs que l’impopularité de la sainte doctrine est un «signe des temps» (2 Tim. 3:14 à 4:5). Face aux nouvelles théologies, proclamons avec force le vieil Evangile et suivons avec joie le chemin ancien que d’autres ont parcouru bien avant nous, dans la fidélité.
Ensuite, le texte mentionne une seconde indication précieuse: La communion fraternelle qu’on pratique dans une telle communauté. Le chapitre 4 des Actes décrit ces chrétiens comme des gens qui «n’ont qu’un coeur et qu’une âme». Ils sont devenus, en Jésus-Christ, des frères et des soeurs qui ont en commun le même Père, le même Sauveur, le même Esprit.
C’est cela, l’église: une communauté fraternelle, et qui a toute sa valeur. Le Seigneur n’a-t-il pas dit: «tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres» (Jean 13:35)? Ils sont devenus des frères, non pas des frères qui s’observent et se jalousent, mais des frères qui s’aiment de cet amour vrai et fort qui vient de Dieu. Ils constituent ainsi une véritable communauté, à la différence d’un auditoire où l’on s’ignore ou d’une société informe et sans âme... Ils composent un ensemble de personnes nées de nouveau, étroitement solidaires et fraternellement liées les unes aux autres. Nul n’y est solitaire!
- En troisième lieu, ces premiers chrétiens «rompaient le pain ». Et pourquoi prennent-ils la Sainte-Cène? Non pas seulement pour se souvenir que le Seigneur Jésus est mort et ressuscité pour eux. Mais aussi parce que, en donnant sa vie — son corps — Dieu fait des siens un corps, précisément.
C’est tellement important de comprendre cette vérité fondamentale : ce repas ne se limite pas à un tête-à-tête intime. Je n’y suis pas seul avec Jésus. A ma droite et à ma gauche, il y a les autres. Les autres, convoqués au même titre que moi, aimés comme moi, graciés comme moi, «débarbouillés» comme moi et appelés à la même communion, à la même table, celle du Christ. C’est là que se manifeste tangiblement notre unité. C’est alors un moment de rencontre véritable, non seulement avec le Seigneur, mais avec les autres. C’est un moment au cours duquel la guérison de ce corps qu’est l’Eglise peut être reçue: réconciliation, pardon, confession... Y avons-nous songé?
- Enfin, la prière est mentionnée comme l’une des caractéristiques de cette première communauté. Quelle église que l’église primitive ! Quelle église ne serions-nous pas, si nous étions tous, comme ces chrétiens d’autrefois, fidèles et puissants dans la prière! Et quelle armée ne formerions-nous pas si, avec Dieu, nous avions un tel pouvoir dans la prière! La vie matérielle exige beaucoup de temps. Il faut lui en racheter... Le diable, toujours rusé, s’emploie à nous en faire perdre beaucoup: «Rachetez le temps, car les jours sont mauvais» (Ephésiens 5:16). Quand nous prions, nous participons à la réalisation du plan de Dieu. C’est dans la prière personnelle et communautaire que toute victoire devient possible, là où le nom béni et vainqueur de Jésus est invoqué.
Voilà ce que ce texte du livre des Actes nous permet de découvrir de cette première communauté chrétienne. Si l’église, dans sa forme locale, veut être forte, efficace, si elle veut être une interlocutrice valable, il faut qu’elle se concentre sur l’essentiel. Des conférences, des cours de langues, tout cela est fort bien; mais on le trouve ailleurs, et souvent en mieux... Toutefois, cet enseignement de la Parole, cette communion vraie et fraternelle, ce partage du pain et de la prière, on ne les trouve qu’auprès de Jésus-Christ.
Malheur à l’Eglise si elle délaisse, si peu que ce soit, sa raison d’être pour s’occuper d’autre chose... Ensemble, à l’intérieur de la communauté à laquelle nous appartenons, prions, agissons, persévérons en ces temps de confusion. Le Seigneur veut encore se glorifier par la communauté fidèle et courageuse. Soyons, chacun pour nous-même, un membre vivant de notre église, auquel Jésus pourra dire: «si vous savez ces choses, vous êtes heureux... pourvu que vous les pratiquiez!» (Jean 13:17)

lundi 11 novembre 2019

S'ATTACHER A L'ESSENTIEL 1/2



par Carl Ledune (Radio reveil 1979/03)

Imaginons un instant que nous ne savons rien de l’Eglise primitive. Nous sommes tellement enfoncés dans nos habitudes et dans nos traditions que, si nous voulons pouvoir écouter le texte biblique avec le minimum d’objectivité, il nous faut d’abord écarter nos idées préconçues et tâcher d’acquérir un regard neuf et clair.
En arrivant de l’extérieur, qu’aurions-nous découvert en pénétrant dans le cercle de ces premiers disciples? Une église, une paroisse, la première qu’il nous soit donné de connaître !
Quelles en sont les caractéristiques principales? Par quelles marques se signale-t-elle au dehors? Que font ces premiers chrétiens? A quoi s’occupent-ils? Bref, que se passe-t-il dans cette paroisse des origines? La description qu’en fait le chapitre 2 du livre des Actes est assez précise pour nous permettre de répondre à ces questions. Et, tout en le faisant, il ne sera pas inutile de nous laisser interpeller personnellement par ce que nous allons découvrir.
Le verset 42 de ce chapitre des Actes dessine les contours de toute vraie communauté chrétienne, à savoir:
— qu’on y dispense l’enseignement apostolique,
— qu’on y pratique la communion fraternelle,
— qu’on y persévère dans le partage du pain (la cène) et dans la prière en commun.
- La première indication qui nous est fournie est donc celle-ci: un enseignement est donné dans cette paroisse. Les gens s’y réunissent en vue d’être instruits, et le verset 46 souligne qu’ils mettaient beaucoup d’assiduité à se laisser enseigner.
Voilà déjà un fait significatif: l’authentique chrétien est quelqu’un qui est disposé à apprendre. Il sait qu’un événement s’est produit, qui a transformé toute sa vie. Par grâce, il est devenu une nouvelle créature, en recevant le message de la Bonne Nouvelle qui a croisé sa route. La première exigence est donc celle qui fait un devoir au chrétien de s’imprégner de ce message d’amour, de vie et de salut. Calvin disait: «Nous sommes toute notre vie des écoliers de la Parole de Dieu, pressés d’être mieux instruits dans l’Evangile de notre salut.»
Mais quel est au juste l’objet de cet enseignement? Le texte le précise: il s’agit de «l’enseignement des apôtres». Dans cette paroisse d’autrefois, il ne semble pas qu’il soit question de projections lumineuses, de ventes annuelles, de conférences sur la philosophie ou la politique... Ces activités ne sont certes pas explicitement rejetées par notre texte, mais l’effort principal de cette communauté se porte sur ce qui est essentiel: l’enseignement de la Parole de Dieu, cette Parole dont le psalmiste disait: «Je me réjouis de ta parole comme celui qui trouve un grand butin». Ou encore: «Tes préceptes sont la joie de mon coeur» (voir Psaume 119).

lundi 4 novembre 2019

LA NOUVELLE NAISSANCE 2/2



(Lucien Vivier - Jeudi le 18 Février 1971 (Sébastopol)
Non; c'est la pratique d'œuvres dignes de Dieu qui fait de nous d'authentiques chrétiens.
Ø  Celui qui est baptisé et qui vit en concubinage, qu'a-t-on à l'appeler : frère ! ou sœur ! c'est un païen.
Ø  Celui qui a été baptisé et qui boit plus que de raison , ce n'est pas un frère, mais un païen.
Dans l'Eglise de Jésus-Christ, il n'y a pas assez de chrétiens nés de nouveau, ayant 1a nature du Seigneur Jésus.
Si nous ne prenons pas garde, nous aurons tôt fait de tomber dans les mêmes pièges que les docteurs et les chrétiens des premiers siècles.
Nous ne pouvons pas nous recréés nous-mêmes;
Certains ont essayé de devenir meilleurs, mais ils n'ont pas pu, car il nous faut le secours de Dieu.
Cessons de mettre notre espoir en nous-mêmes, dans les hommes, dans les institutions chrétiennes, dans la chair, et croyons que Dieu peut faire en nous un travail de recréation.
Nous avons voulu aider Dieu dans nos réunions de prière; dans ces excitations malsaines, nous avons cru que nous faisions des progrès, mais en réalité, nous marchions comme des écrevisses. De là, tant de pertes dans nos Eglises, tant de gens qui font naufrage en route, parce qu'ils ne sont pas régénérés, ils ont essayé par la chair de réformer leur voie.
Je ne suis rien, je ne vaux rien, je ne peux rien, mais LUI peut le faire.
La foi, c'est croire que Dieu peut faire cela en moi, qu'Il est actif dans ma vie pour accomplir ces choses; et bientôt vous aurez retrouvé la paix, la tranquillité, le repos. Le diable vous dira : « tu as perdu la vie, tu es mort, tu es sec comme de l'amadou ! » mais n'en croyez rien, continuez à faire confiance au Seigneur et vous verrez que les choses changeront en vous. Vous verrez les tentations s'éloigner de vous, elles perdront de leur attrait, de leur force ; pourquoi? parce que vous êtes en train de vraiment mourir; et le Jour où nous mourrons, le mal ne trouve plus à se manifester en nous.
Notre chair est trop active, trop de gens l'excite.
Rappelez-vous jour après jour, que nous ne pouvons rien, nous sommes nuls, nous n'avons aucun pouvoir; c'est le travail de Dieu et aussi longtemps que nous n'avons pas la foi en cette vérité, nous ne pouvons pas faire de grands progrès, nous serons toujours aussi méchants, mesquins, fourbes, hypocrites, malins, même en priant des heures par jour car de notre bouche les méchancetés sortent après les louanges.
Et je dis cela ce soir, pour que les prières, soient mieux dirigées et que  notre Eglise fasse des progrès.
Réunissons-nous pour devenir meilleurs et tachons de trouver les moyens pour arriver à cet équilibre spirituel.
Dans l’Eglise de Pentecôte, nous nous sommes encensés, mais il nous faut regarder dans nos vies, dans nos cœurs et devenir des chrétiens meilleurs, plus spirituels, moins charnels. Dieu est prêt à nous aider, sans même que nous nous en apercevions aussitôt et peut-être on nous le fera remarquer.

dimanche 3 novembre 2019

Qu'est-ce que la Foi

Prédication audio 
Kevin DIETRICH:


samedi 2 novembre 2019

Répond à l'appel

Prédication audio 
Kevin DIETRICH:


vendredi 1 novembre 2019

Chercher Dieu

Prédication audio 
Kevin DIETRICH:


lundi 28 octobre 2019

LA NOUVELLE NAISSANCE 1/2


(Lucien Vivier - Jeudi le 18 Février 1971 (Sébastopol)

(Jea. 3/7) « Il faut que vous naissiez de nouveau »
Jésus a parlé du lavage de son enfant par la Parole de Dieu, et ce n'est qu'après, que le baptême d'eau prend toute sa signification.
(Eph. 5/26) « afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifié par le baptême d'eau ».
Ici, le mot « baptême » n'est pas exact, il n'est pas dans l'original où il est dit ceci : « Il s'est livré Lui-même après l'avoir purifiée par le lavage d’eau ».
Ceci veut dire que, par la parole, Dieu nous lave et nous purifie, mais ce n'est pas le baptême d'eau par immersion qui nous purifie.
(Jacq. 1/18) «Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité ».
Il nous a recréés par la Parole de vérité.
(1 Pier. 1/22-24)  «Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité,………puisque vous avez été régénérés………par la Parole vivante et permanente de Dieu. »
C'est la Parole de Dieu qui produit en nous ce merveilleux travail, et si nous acceptons la Parole,  l'Esprit de Dieu se met aussitôt à 1’œuvre dans nos vies pour nous régénérés, nous recréés, faire de nous une nouvelle créature, un homme nouveau, une femme nouvelle.
Alors, à partir de là, nous demandons à être baptisés.
Le baptême d'eau n'est que le signe, de notre mort et de notre résurrection.
Nous avons encombré nos sanctuaires de gens baptisés, mais non régénérés, car ils ont confondu le lavage par la Parole avec le baptême par immersion.
N'avez-vous jamais réalisé que, du fait qu'une personne descende dans les eaux du baptême, vous en faites aussitôt votre frère ou votre sœur; mais ce n'est pas le baptême qui compte, il n'a sa valeur que, si avant lui, un travail de cœur, d'âme et d'esprit a été opéré; sinon, c'est un bain que l'on a pris.
Pour celui qui n'est pas régénéré, le baptême d'eau ne signifie rien.
Alors nous pouvons faire d'un homme, d'une femme, notre frère ou notre sœur parce qu'il a été baptisé et regarder comme des ennemis un homme ou une femme qui n'aura pas été baptisé, mais qui aura une authentique vie chrétienne. 

lundi 21 octobre 2019

Placer sa Foi en Dieu

Prédication audio 
Kevin DIETRICH:


SAVOIR SE REPENTIR 2/2


par Maurice Farelly (Radio réveil 1979/03)

Jésus lui-même avait annoncé le pourquoi et le comment de l’action salvatrice de Dieu quand il disait: «Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle» (Jean 3:16). Voilà le rocher des siècles, le diamant d’un prix inouï, sur lequel peuvent s’appuyer les hommes de toutes les races et de tous les temps. A Dieu seul, gloire soit rendue!
Mais, hélas, il peut arriver que le chrétien ne parvienne pas à se maintenir, par lui-même, dans cette foi qui le sauve. Dans les Evangiles, l’entourage de Jésus nous en donne l’exemple... Juda tout d’abord qui, déçu par le Seigneur, l’abandonne et le trahit. Le choc de son péché le terrassa; Juda ne put le supporter et, désespéré, alla se pendre. L’autre exemple, c’est Pierre, le disciple fougueux, qui aimait son Sauveur et s’engagea à mourir avec lui si ses ennemis triomphaient. Puis vînt l’épreuve de la tentation et Pierre, effrayé, ne pût tenir sa promesse; la question d’une femme suffit à le désarçonner et il renia son Maître: «Je ne le connais pas!» Quand le coq chanta, que de larmes amères furent versées... Et, lorsque ressuscité, Jésus se présente aux disciples, que de honte chez Pierre! C’est Jésus lui-même qui dût le prendre en main, parce qu’il savait son disciple sincère et repentant. Jésus lui dit croire à sa sincérité, à son amour et le rétablit dans sa charge.
Aujourd’hui encore, beaucoup de chrétiens, après avoir confessé leur foi au Seigneur, l’abandonnent. Ils se sont donnés à lui, puis se sont repris. Ce sont les «ratés du salut». Quel danger que leur situation! Qu’ils s’accrochent à Jésus ! Il les saisirait de sa main puissante et leur donnerait la repentance qui envahirait leur cœur comme une véritable résurrection.
- La troisième catégorie de péchés, qui publient dans la vie des chrétiens, ce sont les péchés contre l’amour. Ils ne paraissent que peu importants, mais ils parasitent notre témoignage de chrétiens. Ils relèvent de notre caractère, de nos tempéraments... Et nous dédaignons ces fruits de l’Esprit, qui émanent de l’amour et qui sont la bienveillance, la patience, la fidélité, la paix, la maîtrise de soi. Ce qui abîme notre vie spirituelle, ce sont les mauvaises habitudes dont nous ne sommes pas débarrassés, et au sujet desquelles l’apôtre Paul nous avertit: «Les injustes, les débauchés, les idolâtres n’hériteront pas du Royaume de Dieu» (Galates 5:21).
De ces péchés contre l’amour, il y en a dans notre vie à tous. Ils proviennent du fait que nous n’avons pas pris au sérieux l’offre et la promesse de Jésus qui nous a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire... Attachez-vous à moi comme la branche est attachée au tronc et vous porterez alors beaucoup de fruits... Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde». Au lieu de nous appuyer sur lui, ne succombons-nous pas à nos travers dans un sourire ironique, ou un haussement d’épaules, qui veut dire que cela nous importe guère? Or la loi d’amour envers les frères, c’est le test de notre amour pour Dieu et de la sincérité de notre foi.
En terminant, je pose une question : «Savons-nous encore nous repentir?» La repentance est la conséquence du sentiment éprouvé en face de notre péché. C’est le reconnaître et être saisis de contrition, à cause de la tristesse qu’il provoque en nous. Nous sommes sans cesse agressés par cette tentation de pécher contre l’amour des frères. Elle doit nous mettre en alerte pour que nous puissions combattre et surmonter tout péché. Et celui qui nous aide à en triompher, c’est Jésus-Christ. Ayons le souci d’obéir au Seigneur.

lundi 14 octobre 2019

Le Combat Spirituel

Prédication audio 
Kevin DIETRICH:


SAVOIR SE REPENTIR 1/2


par Maurice Farelly (Radio réveil 1979/03)

La Bible parle fréquemment du péché. Dans la pensée des hommes d’aujourd’hui, le terme de péché est assez impopulaire. Il provoque l’ironie et les haussements d’épaules. L’incrédulité est devenue telle que la plupart des gens rejette toute référence à Dieu, à sa loi, à sa volonté, revendiquant le droit de faire ce qu’ils veulent, sans être coupables... Alors que les ordonnances de Dieu sont faites pour notre préservation et notre épanouissement, et non pour nous brimer.
L’histoire biblique exprime diverses formes de péché et nous en retiendrons trois d’entre elles.
- La première est illustrée par l’histoire du roi David, repris par le prophète Nathan, lorsqu’il commit un grand et double péché en prenant la femme d’Urie qu’il fit assassiner. Or David était un homme bon, efficace et exceptionnel pour son temps. C’était un homme pieux, qui vivait profondément sa foi en Dieu et qui était qualifié — selon l’expression biblique — «d’homme selon le coeur de Dieu». Et voici qu’il accomplit son double forfait! Sa conscience ne l’arrête pas... Seulement plus tard, lorsque le prophète l’interpelle, il se rend compte de son péché. Il reconnaît alors que sa faute a été commise contre Dieu. C’est Dieu qu’il a offensé, puisqu’il a fait ce qui est mal à ses yeux. Il a causé un grave préjudice aux victimes de son péché, mais son crime est plus grand encore envers le Seigneur qu’il prétendait servir: son acte infâme fit blasphémer les païens contre Dieu lui-même.
Ensuite, dans sa confession, c’est le remords qu’il exprime. Vêtu d’un sac, il se coucha par terre, sur la cendre, et s’humilia lui-même dans la poussière, à cause de son péché. Sa prière se trouve dans le Psaume 51: «Mon péché est constamment devant moi», dit-il (Ps 51:5). Et il se repenti
L’histoire du péché de David, et du pardon qu’il obtient de Dieu, est véritablement exemplaire. Quel que soit l’outrage fait à Dieu, il est toujours prêt à pardonner au pécheur qui se repent sincèrement et qui recherche, auprès de lui, la seule absolution possible.
- Une seconde forme de péché est celui commis contre la foi, la foi en Jésus-Christ le Fils de Dieu venu sur la terre pour nous réconcilier avec son Père. A cette fin, il s’est donné lui-même sur la Croix, et son sacrifice est rédempteur. Dieu veut que cette manifestation d’amour, accomplie par son Fils bien-aimé, soit valable pour toute l’humanité, en n’importe quelle génération. Elle a des effets éternels et irréversibles. Il nous suffit de faire cet acte de foi, de nous donner à Jésus-Christ, pour devenir son disciple. C’est un prodige à nos yeux, et c’est un mystère sur lequel s’achoppe notre raisonnement et notre intelligence. Mais c’est ainsi: «Il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication » dit la première épître aux Corinthiens (1:21)!

lundi 7 octobre 2019

OU EST LE DIEU D’ÉLIE 2/2



(Pent. Evangel) (Trait d’union 1960/09)

Le cri d’Elisée était un ordre, un défi lancé à Dieu. Il demandait une manifestation immédiate de sa puissance et de sa présence. Et il avait tout droit de le faire, puisque Dieu lui adressait un appel; il voulait une confirmation définitive de cet appel.
Quelques années plus tôt, Elie était entré dans le champ où Elisée était en train de labourer, et avait jeté son manteau sur les épaules du jeune homme l’adoptant ainsi comme son héritier spirituel. Et maintenant Elisée demandait à Dieu une preuve que lui aussi l'avait adopté comme le successeur d'Elie. Il avait avec lui un manteau "de seconde main", mais il voulait un appel "de première main" dans son cœur; faute de quoi il refusait de marcher. En fait, il disait à Dieu qu'il ne continuerait pas l’œuvre qu'Elie venait de quitter, sans avoir reçu d'abord un nouveau baptême de puissance.
L’homme de prière réclame des choses de Dieu, parce que Dieu réclame de lui l'impossible. Qui pourrait accomplir les ordres de Dieu, sans recevoir d’abord une puissante onction d’En-haut.
La traversée du Jourdain fut le premier des seize miracles que la Bible nous raconte d’Elisée. Dès le début de son ministère, il mit Dieu à l'épreuve. Le Jourdain est là devant lui, et il crie à Dieu ; "J’ai bien le manteau de mon maître, comme le signe extérieur que je suis son successeur, mais ô Dieu, j'ai un urgent besoin de la "double portion" réservée au fils aîné. O Dieu, baptise-moi de ton Esprit".
Irions-nous imaginer qu’il y avait quelque pouvoir spécial dans le manteau lui-même ? Certes ce serait blasphème que de louer les puissants serviteurs du passé, comme si c'était par leurs propres vertus humaines qu’ils avaient accompli leurs exploits. Peut-être semblait-il prétentieux de la part d'Elisée de présumer qu’il accomplirait ce qu'Elie avait accompli. Il n'y avait qu'un Elie sans doute, mais il y a le Dieu d'Elie, et ce Dieu peut agir aussi facilement par Elisée que par Elie, pourvu que l'instrument lui soit entièrement consacré. Le manteau d'Elie ne pouvait pas séparer le Jourdain, mais le Dieu d’Elie le pouvait et il le fit. Si nous avons le Dieu d'Elie, le manteau aura une signification; autrement, ce ne sera qu'un manteau de tradition. La tradition empêche plus qu'elle n'aide; à moins que ceux qui suivent la tradition ne possèdent le même esprit que ceux qui l'ont créée. Les mains puissantes de William Booth posées sur la tête d'un officier de l’Armée du Salut n’auraient aucune influence, si Dieu ne posait ses mains à Lui sur le cœur du jeune homme. Tous les manteaux sont sans valeur en dehors de cet attouchement divin.
Aujourd’hui on essaie des succédanés pour remplacer la puissance de Dieu, et c'est la malédiction de l'Eglise. Aujourd'hui, même dans les cercles évangéliques, celui qui croit à la puissance de Dieu et au surnaturel est considéré avec pitié et traité de fanatique. Mais l'Eglise qui rejette le signe du surnaturel est bientôt rejetée par Dieu. Dieu la laisse à ses traditions et à ses manteaux rongés par les mites.
C’est parce qu’Elisée croyait au Dieu surnaturel que l’incroyable arriva. C'est parce que nos pères croyaient à la toute-puissance de Dieu, que des miracles se produisirent. Et ces miracles se produiront encore, parce que Dieu n’est pas mort; il est vivant et il attend d’être provoqué par la foi de ses enfants. C'est là le réveil pour lequel nous prions et que nous attendons. Il peut se produire maintenant, partout où les enfants de Dieu s'emparent de ses promesses. Vous pouvez accomplir l’impossible pour Dieu, si vous voulez permettre à Dieu d’accomplir l’impossible pour vous. Il nous arrive souvent de lire des biographies de géants de la foi et de poser ensuite le livre avec découragement. Au lieu de nous inspirer, ils nous abattent. Nous disons : "Jamais nous ne pourrions être comme eux". O mon frère, détourne tes yeux de la personne et tourne les vers le Dieu vivant. Nous devons nous souvenir que la source de la puissance, c'est lui, le Dieu vivant lui-même, et, dans son amour, il nous dit : "Invoque-moi et je te répondrai et je montrerai de grandes choses, des choses cachées que tu ne connais pas".
Le seul obstacle pour Dieu, c’est notre manque de foi.
Le monde entier est une voûte acoustique et l'Eglise est un des foyers. Nous possédons le message pour le monde perdu qui marche à la mort. Si l'Eglise veut répondre à l'urgence de l'heure, elle doit jeter comme un défi au Dieu vivant, afin de recevoir un nouveau baptême de puissance. Ayons l’audace de regarder en face le Tout-Puissant, et de réclamer de lui la puissance et la victoire.